Les images ci-dessous montrent que l'appareil a été complètement détruit et on peut apercevoir des chargeurs de Kalachnikov parmi les débris de l'appareil.
L'adoption de la Convention internationale de Nairobi sur l'enlèvement des épaves par l'Organisation maritime internationale (OMI), le 18 mai, a constitué un pas important.
Selon les responsables géorgiens, les gardes frontière avaient tiré à l'arme automatique à plusieurs reprises sur l'aéronef mais on n'a pas pu retrouver d'épave plus tard.
Après l'intervention de l'armée et le rétablissement de l'ordre, des signes de provocation auraient réapparu tels que la présence de carcasses de porcs dans les mosquées.
Ses 259 passagers et membres de l'équipage ont été tués, ainsi que 11 habitants de Lockerbie résidant à l'endroit où sont tombés les débris de l'appareil.
À partir de ces ruines et de toutes ces morts atroces, nous devons, nous peuples des Nations Unies, chercher à reconstruire l'autorité morale de notre Organisation.
Après la catastrophe, une massive opération de police a été déclenchée pour ramasser le plus grand nombre de débris possible en vue d'établir la cause de l'écrasement.
Des débris engendrés par une telle guerre priveraient pour toujours l'humanité des avantages immenses, aux plans économique, social et de la sécurité, d'une utilisation pacifique de l'espace.