Le travail des répétitions, notre tête-à-tête sous les feux de la rampe,resserrèrent encore nos liens ; on nous appela désormais : « les deux inséparables » .
Les deux nobles officiers étaient toujours dans ses pattes, inséparables, postés sous les fenêtres de donna Viola, ou faisant le pied de grue dans son salon, ou à attendre indéfiniment, tout seuls dans des tavernes.