Un cri poussé par Robert s’éleva soudain. L’enfant prétendait voir deux hommes qui couraient et gesticulaient, pendant qu’un troisième agitait un pavillon.
Cette chute devait durer depuis des heures. Il souffrait de la fausse position qu’il avait prise, n’osant bouger, torturé surtout par le coude de Catherine.
J’étais seul maintenant. Je l’ouvris, à l’intérieur était une carte sur laquelle on m’indiquait la dame à qui je devais offrir le bras pour aller à table.