De ce fait, les gens doivent très souvent emprunter de l'argent, vendre leurs biens ou avoirs les plus chers pour payer les médicaments lorsqu'ils sont malades.
En raison de paiements tardifs ou inexistants, l'Organisation doit continuer la pratique d'emprunter sur le compte de maintien de la paix, dont les ressources sont en diminution.
Une culture spécifique aux quartiers traduit notamment le développement d'une socialisation propre construite par emprunts et de codes sociaux qui traduisent les difficultés et les discriminations subies.
La situation ne s'est pas améliorée de façon significative malgré les appels répétés du gouvernement, car les banques hésitent àprêter de l'argent en raison du manque de collatéral.
Le recours persistant à des prélèvements sur les comptes du maintien de la paix en raison du paiement insuffisant de leurs contributions, par des États Membres, est donc déconcertant.