La KOTC n'a pas non plus expliqué quels auraient pu être les besoins de la KOC par rapport au nombre de navires de servitude qu'elle possédait ou affrétait.
La KOTC réclame un montant de KWD 84 890 au titre du manque à gagner subi sur la location du STRIKER, qui est un plus gros navire de servitude opérant au large.
Lors de ses entretiens avec les représentants de la KOTC, le Comité a appris que la KOC n'avait pas de plates-formes en mer où auraient pu s'arrêter des navires de servitude offshore.
Toutefois, comme le massif des arbres cachait le littoral, il était possible qu’un bâtiment, surtout un bâtiment désemparé de sa mâture, eût accosté la terre de très-près, et, par conséquent, fût invisible pour Harbert.