Les procédures prévues dans la loi type seraient accessibles à toute société insolvable ou défaillante ayant emprunté d'importantes sommes à l'étranger.
Ainsi, l'applicabilité des principes relatifs à l'insolvabilité pour protéger les débiteurs et pour assurer un traitement égal des créanciers devient encore plus pertinente.
De nombreux gouvernements vont devoir revoir leur niveau d'endettement et se poser sérieusement la question de savoir s'ils ont besoin d'emprunter autant qu'ils le font actuellement.
En outre, il y a eu une nouvelle baisse des investissements et une hausse du niveau de la dette de l'Autorité palestinienne envers les entreprises privées.
Cette situation peut aboutir à des écarts de change dans les bilans soit des banques, soit de l'emprunteur final, ce qui est un facteur de fragilité financière accrue.
La dette et le cycle de remboursement de la dette piègent les pays en développement, en particulier les pays les moins avancés, dans ce cercle vicieux de pauvreté.
La reprise dans ces pays ne doit pas s'appuyer sur la dette, mais être alimentée par des dons et de nouvelles initiatives doivent être conçues comme des « financements compensatoires ».
Les gouvernements de nombreux pays en développement ont largement emprunté par le passé et doivent maintenant affecter la majeure partie de leurs recettes au service de la dette, notamment la dette étrangère.
Ainsi, au lieu de mettre des sous de côté comme nos paysans, les mineurs boivent, font des dettes, finissent par n’avoir plus de quoi nourrir leur famille.