II est inadmissible que notre Organisation puisse être l'otage de conflits; il est anormal que ceux qui bafouent leur parole continuent à recevoir l'aide internationale.
Cela lui interdisait de se prévaloir de l'article 40 aux termes duquel, s'il est de mauvaise foi, le vendeur ne peut invoquer les dispositions des articles 38 et 39.
Troisièmement, ne pas accéder à une demande du Comité et ne pas lui donner des informations à ce sujet, avant de procéder à l'expulsion du requérant, ont constitué des actes de mauvaise foi.