Le ministre des Finances proposes à ses créanciers, dont des gouvernements étrangers qui lui ont prêté de l'argent, soit de capitaliser les paiements qui leur sont dus, soit de se faire rembourser en roupies sri-lankaises.
Tous les trois prenaient du tabac et ne songeaient plus depuis longtemps à éviter ni les roupies, ni les petites galettes noires qui parsemaient le jabot de leurs chemises rousses, à cols recroquevillés et à plis jaunâtres.