Le Conseil de sécurité ne lance pas souvent un débat public sur la base d'un document contenant des termes comme « excès d'économie », « considérations particularistes » et politique de « deux poids deux mesures ».
D'un autre côté, il convient de ne pas introduire dans le débat des éléments suscitant une approche particulariste ou un traitement différencié de divers aspects de l'état de droit aux niveaux national et international.
Les décisions du Conseil lui sont-elles dictées par des considérations nettement plus particularistes que nous sommes prêts à l'admettre, et non par les obligations collectives qui nous incombent en vertu de la Charte des Nations Unies?