Tous passent par la Lybie, pays en guerre civile aux frontières poreuses, où ils sont battus, rançonnés, violés, dans des camps d’internement aux mains de miliciens sans scrupules.
En moins de cinq mois, entre 20 000 et 30 000 personnes meurent sous les bombes, tandis que plus de 300 000 autres sont évacuées vers des camps d’internement surveillés et ces camps se trouvent rapidement saturés.