Dans ce départ de la rue Plumet, qui avait été presque une fuite, Jean Valjean n’avait rien emporté que la petite valise embaumée baptisée par Cosette l’inséparable.
Les embarcations pendant cette navigation firent un rude service. Les marins ne s’en plaignirent pas. Presque toujours Glenarvan, son inséparable Paganel et le jeune Robert les accompagnaient.
Le travail des répétitions, notre tête-à-tête sous les feux de la rampe,resserrèrent encore nos liens ; on nous appela désormais : « les deux inséparables » .
Ce fut d’abord de la joie, du délire. Le géographe était absolument fou ; il gambadait et mettait en joue avec son inséparable longue-vue les dernières pirogues qui regagnaient la côte.
Il s’approcha de son lit, et ses yeux s’arrêtèrent, fut-ce par hasard ? fut-ce avec intention ? sur l’inséparable, dont Cosette avait été jalouse, sur la petite malle qui ne le quittait jamais.
Cette expression signifie être très proche de quelqu'un, voir inséparable et pour cause, avant le 19e siècle, la chemise pouvait être portée à même le corps pendant plus d'un mois, sans être lavée.