Synopsis : L'histoire de Julien Sorel, arriviste immortalisé par Stendhal, qui renonce à l'armée pour l'Eglise mais que l'amour mènera à la guillotine.
Il n'en demeure pas moins que ce plan d'achèvement des travaux des deux Tribunaux ne doit pas et ne saurait être interprété comme autant de dates guillotines s'agissant de la fin des enquêtes ou de la fin des jugements d'instance et d'appel.
Et les actes symboliques dans ce genre peuvent aussi être improvisés par des communards, ainsi le 6 avril, des gardes nationaux brûlent une guillotine sur le boulevard Voltaire.
Son bureau était élégamment décoré, avec une cheminée de marbre fin qui faisait face aux longues fenêtres à guillotine, hermétiquement closes pour lutter contre cette fraîcheur hors de saison.
Il s’opiniâtrait contre son garde des sceaux ; il disputait pied à pied le terrain de la guillotine aux procureurs généraux, ces bavards de la loi, comme il les appelait.
Tous poussèrent un cri d’horreur. En voilà un, par exemple, qu’ils seraient allés voir raccourcir avec plaisir ! Non, la guillotine, ce n’était pas assez ; il aurait fallu le couper en petits morceaux.