2.Il fournit la plus grande quantité de poissons du pays. Cours d'eau durant la saison des pluies, il fournit des alluvions de terre arable aux zones environnantes.
3.En juin, avec l'aide de la MINUL et du PNUD, le Gouvernement a accueilli une conférence sous-régionale ouest-africaine sur l'harmonisation des impôts, les contrôles aux frontières, l'application des lois et les questions liées à l'exploitation d'alluvions diamantifères.
4.Les alluvions qui résultent de l'érosion mécanique se concentrent en dépôts placériens triés par les vagues, les marées et les courants du fait de la densité (masse par unité de volume) relativement forte des minéraux qui les constituent.
5.Cela va de la collecte officieuse de divers types de taxe et de prélèvement auprès de ceux qui exercent une activité de subsistance - pêche, agriculture de subsistance, petit commerce transfrontière, exploitation des alluvions, sciage de long artisanal, chasse, vente de terrains et location de logements - à la location de salles municipales et au prélèvement de droits pour les funérailles.
6.Le Mékong est le cours d'eau principal en toute saison; il apporte des alluvions de terre arable dans les zones des basses terres le long du fleuve, constitue une zone de pêche pendant la saison sèche, irrigue les rizières pendant cette même saison sèche, fournit des cailloux et du sable pour la construction et peut être utilisé pour construire des centrales hydroélectriques dans le district de Sambo (province de Kratie).
3.Mais, pour ceux qui étudient la langue ainsi qu’il faut l’étudier, c’est-à-dire comme les géologues étudient la terre, l’argot apparaît comme une véritable alluvion.
4.Eh bien déjà, et on va voir que ça concerne Saint-Denis, il y a les alluvions : l'écoulement des eaux, la pluie, l'érosion, charrient de la poussière et de la matière.
5.Parce que la vie animale n’a existé sur la terre qu’aux périodes secondaires, lorsque le terrain sédimentaire a été formé par les alluvions, et a remplacé les roches incandescentes de l’époque primitive.
6.Ce banc est un produit des alluvions marines, un amas considérable de ces détritus organiques, amenés soit de l’Équateur par le courant du Gulf-Stream, soit du pôle boréal, par ce contre-courant d’eau froide qui longe la côte américaine.