Le Comité félicite l'État partie des efforts continus qu'il déploie pour réinstaller et réhabiliter les Tatars de Crimée déportés plusieurs décennies auparavant.
Le Comité note que les Tatars de Crimée restent apparemment sous-représentés dans l'administration publique de la République autonome de Crimée (art. 5 c), et 2, par. 2).
Les retards de paiement restent particulièrement importants dans la République autonome de Crimée et dans les régions de Transcarpatie, d'Ivano-Frankovsk, de Ternopol et de Tchernovtsy.
Il convient de faire état notamment de l'Association des communautés et sociétés nationales de Crimée et de la Confédération des sociétés culturelles nationales d'Ukraine occidentale.
Sur le nombre total d'habitants de la Crimée, on compte 253 800 personnes déportées (d'après des données de la Direction générale du Ministère ukrainien de l'intérieur).
Au niveau des pays, le PNUD et le Haut Commissariat aux minorités nationales de l'OSCE coopèrent étroitement depuis bientôt six ans en République autonome de Crimée (Ukraine).
Des travaux ont également été menés à bien directement avec les groupes minoritaires concernés, notamment les minorités russophones d'Estonie et de Lettonie et les Tatars de Crimée.