Certains ont fait des témoignages très convaincants selon lesquels ils avaient été battus et frappés au visage, en particulier par des responsables du "Gorotdel".
Il serait impropre de suggérer aux parents ordinaires qu'ils ne savent pas faire la différence entre une gifle et la violence criminelle, ou que l'une conduit immanquablement à l'autre.
Au lendemain du passage de la flamme olympique dans la capitale, le premier avait titré «La claque» et le second, «JO: le fiasco de la flamme à Paris».