Plusieurs juristes de droite se réjouissent ouvertement de cette décision et estiment qu'il s'agit d'une simple privation du droit de vote et d'éligibilité tel qu'il existe notamment dans le droit français.
Malgré le message très fort envoyé par le pouvoir saoudien avec ce droit de vote et d'éligibilité des femmes, rien ne dit que l'une d'entre elles aura recueilli assez de suffrages pour siéger dans un conseil municipal.